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Nul sacrifice, nulle victoire

« Avant de guérir quelqu’un demandez-lui s’il est prêt à abandonner les choses qui le rendent malade. »

Cette phrase, c’est une citation d’Hippocrate, médecin qui en l’an 460 avant Jésus Christ avait une vision de la santé qui prône une implication de la personne vers un retour vers la santé. 

Parce que l’idée de ce blog c’est de proposer une piste sérieuse d’amélioration de la qualité de vie pour les gens qui souffrent de maladies Chroniques, voire une rémission (mise en sommeil) pour des maladies dites incurables et dégénératives en changeant de régime alimentaire. 

Le docteur Seignalet, le médecin Montpelliérain qui a défini le cadre de cette méthode classe les pathologies en 3 catégories :

  • Les maladies dans la catégorie Auto immunes (notre système immunitaire attaque nos propres cellules) on peut citer la polyarthrite rhumatoïde et la spondylarthrite ankylosante ou la Sclérose en plaque.
  • Les maladies dites d’encrassage: Fibromyalgie, Goutte, Migraine, diabète de type 2, maladie de Parkinson
  • Et les maladies d’élimination: Colites, maladie de Crohn, Acné, Asthme, Sinusite, Rhume des foins, conjonctivites allergiques, la maladie de Crohn

Je vais en profiter pour préciser que le docteur Seignalet ne précaunise jamais d’arrêter le traitement médical. Il ajuste la posologie ou la molécule active en fonction de l’état du patient. 

Alors essayer une méthode gratuite, sans médicaments sans effet secondaire, cela semble presque trop beau mais il y a un prix à payer bien sûr, celui d’un changement d’habitudes alimentaires.

Pour certain elles sont sacrées et on peut se dire que ce n’est déjà pas drôle d’être malade et que si en plus on peut plus se réconforter avec des hamburgers, des pizzas ou une bonne tartiflette avec un coca, c’est trop dur. En plus on n’a pas le temps de cuisiner et les légumes ce n’est pas très bon. Dans la réalité , il y a quand même moyen de se faire plaisir et c’est l’autre facette de ce blog, les recettes .

C’est là ou il faut savoir quelles sont nos véritables priorités : soit on se balade de médecins en examens, on prend ses médocs et on attend que la chimie nous aide ou alors on se dit ça vaut peut-être la peine d’essayer, on n’a pas grand-chose à perdre, au pire si ça marche pas on rappellera le pizzaiolo ?

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